Il y a 77 ans, le général de Gaulle se levait pour entreprendre le redressement de la France et lui rendre sa liberté et sa grandeur.
Face au fatalisme et au renoncement, face à la multitude de ceux qui avait choisi de s’en remettre à un faux sauveur de la nation, il choisissait de prendre son destin en main et d’emprunter le chemin escarpé du combat et de l’action pour le seul service du pays.
Il ne s’agissait pour lui ni de défendre les intérêts du centre, de la droite ou de la gauche, ni d’agir seul, mais de rassembler toute la nation pour lui permettre de retrouver sa fierté et de reprendre sa marche en avant.
77 ans après, ce même esprit doit nous animer. En ces temps incertains où notre démocratie traverse une crise profonde et où notre économie continue de prendre du retard par rapport à celle de nos principaux voisins, il nous revient de nous mettre au service du redressement national.
Ce n’est pas avec des visites à Colombey ou des dépôts de gerbes au Mont Valérien ou ailleurs que l’on y œuvrera efficacement, mais en travaillant intensément à transformer l’organisation de notre pays et à remédier à ses fragilités pour lui permettre de retrouver le chemin de la croissance, de la prospérité et du progrès social.
Nous devons en particulier changer en profondeur son organisation politique et administrative pour libérer la France du système qui, depuis 30 ans, l’a précipité sur le chemin du déclin et de l’échec.
Répondre à l’Appel du général de Gaulle en 2017, c’est choisir d’agir et de se mettre au service du redressement de la France en rassemblant son peuple autour d’une ambition nouvelle pour notre pays.
C’est ce que nous faisons aujourd’hui.
J’appelle tous ceux qui, comme nous, veulent faire renaître l’espérance et remettre la France sur la voie de la prospérité, de la grandeur et du progrès à nous rejoindre pour la conduire sur le chemin du succès.
