Le général Jean-Louis Georgelin est mort hier, alors qu’il réalisait l’ascension en solitaire du mont Valier dans les Pyrénées. Cette mort dans l’effort, discrète et modeste, est à l’image de la vie de ce grand serviteur.
Homme d’engagement, de conviction et de foi, il avait choisi de mettre son énergie, son intelligence et son charisme au service de la France, de son armée, puis de la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Aux discours, il préférait l’action et les résultats. À la vacuité de la scène médiatique, il préférait la force des rencontres.