Le nouveau nom du parti présidentiel est fort mal choisi. Plutôt que Renaissance, c’est Effondrement qui lui aurait convenu. Le paysage politique actuel l’illustre. Il s’agit au surplus d’une volonté délibérée du chef de l’Etat. S’il cherche aujourd’hui une Premier ministre de gauche, c’est parce qu’il estime avoir suffisamment détruit la droite et veut maintenant s’attaquer plus radicalement à ce qu’il reste de la gauche. Un seul but : consolider son pouvoir et celui de ses courtisans

lfm_2016