Le président de la République a tenté de faire diversion sur le fond de l’affaire Uber en créant une polémique sur l’expression vulgaire qu’il a utilisée. C’est une vieille ficelle politique qui ne trompe pas grand monde. Là n’est pas l’essentiel. Si l’affaire Uber est grave, c’est parce qu’elle confirme qu’Emmanuel Macron s’est de nouveau cru au-dessus des lois en menant, pour des raisons à clarifier, une politique personnelle là où s’imposait l’obligation constitutionnelle de solidarité gouvernementale

lfm_2016