L’attentat de la synagogue de la Grande Motte constitue une nouvelle preuve de la progression des actes antisémites au sein de notre pays. Dans ce contexte, aucun compromis n’est possible. La responsabilité de l’ensemble des dirigeants politiques de notre pays est de les condamner sans appel et de veiller à la protection totale de l’ensemble des Français de confession juive.

Jean-Luc Mélenchon et son parti ont malheureusement choisi de louvoyer encore le week-end dernier. Dans sa communication, le dirigeant de LFI s’est employé à ne mentionner ni le caractère antisémite de l’attaque, ni le fait qu’elle visait des Français de confession juive, en ne faisant référence qu’à des croyants, ainsi qu’à la liberté de cultes…. Cette attitude serait dérisoire, si elle ne menaçait pas la sécurité de nos concitoyens juifs.

Ils méritent plus que jamais le soutien de la nation entière. Les paroles ne suffisent pas. Il faut des actes.

Il convient d’abord de faire le bon diagnostic. Il n’y a pas aujourd’hui, chez les Français, d’antisémitisme d’ambiance, comme ce fut le cas dans la première partie du XXème siècle. Il y a en revanche un antisémitisme communautaire, alimenté par un islamisme combattant. Il instrumentalise actuellement le conflit palestinien. Ce seront d’autres vecteurs demain. Nous devons donc, partout en France, intensifier la lutte contre l’islamisme.

Il faut ensuite appliquer, y compris aux responsables politiques, l’ensemble des dispositions législatives réprimant les discours et actes antisémites, et sanctionner sévèrement toutes les atteintes, dans la société, sur les ondes et sur les réseaux sociaux.

Nous devons enfin développer des programmes éducatifs plus sérieux, à l’école, dans les collèges, ainsi que les lycées, et nous assurer qu’ils soient enseignés partout, sans que certains professeur ne s’en abstiennent, par crainte de conflit avec leurs élèves de confession musulmane. Il est de ce point de vue regrettable que la ministre de l’Education nationale, même démissionnaire, n’en ait pas fait une priorité pour son administration.

Face à la gangrène antisémite, il est urgent d’agir. L’antisémitisme est contraire aux valeurs de la France et de la nation. Nos compatriotes de confession juive doivent voir leur sécurité et leur liberté de culte garanties sur l’ensemble du territoire national. Leurs ennemis sont aussi ceux de notre pays. C’est l’honneur et la grandeur de la France de se porter à la pointe de ce combat pour le respect, la dignité et la liberté de l’homme.

L’attentat de la synagogue de la Grande Motte constitue une nouvelle preuve de la progression des actes antisémites au sein de notre pays. Dans ce contexte, aucun compromis n’est possible. La responsabilité de l’ensemble des dirigeants politiques de notre pays est de les condamner sans appel et de veiller à la protection totale de l’ensemble des Français de confession juive.

Jean-Luc Mélenchon et son parti ont malheureusement choisi de louvoyer encore ce week-end.  Dans sa condamnation de l’acte, le dirigeant de LFI s’est employé à ne mentionner ni le caractère antisémite de l’acte, ni le fait qu’il visait des croyants de confession juive, et à ne faire référence qu’à des croyants, ainsi qu’à la liberté de cultes. Cette attitude serait dérisoire, si elle ne menaçait pas la sécurité de nos concitoyens de confession juive.

Ils méritent plus que jamais le soutien de la nation entière. Mais les paroles ne suffisent pas. Il faut des actes.

Il convient d’abord de faire appliquer, y compris aux responsables politiques, l’ensemble des dispositions législatives réprimant les discours et actes antisémites, et de réprimer toutes les atteinte, dans la société, sur les ondes et sur tous les réseaux sociaux. Nous devons également intensifier, partout en France,  la lutte contre l’islamisme, qui alimente l’antisémitisme contemporain. Il faut enfin développer des programmes éducatifs plus sérieux, à l’école, dans les collèges et les lycées et s’assurer qu’ils soient enseignés partout, sans que certains enseignants s’en abstiennent par crainte de conflit avec leurs élèves de confession musulmane. Il est de ce point de vue regrettable que la ministre de l’Education nationale, même démissionnaire, n’en ai pas fait une priorité pour son administration.

Face à un antisémitisme d’origine islamiste grandissant, il est urgent d’agir. L’antisémitisme est contraire aux valeurs de la France et de la nation. Nos compatriotes de confession juive doivent avoir leur sécurité et leur liberté de culte garantie sur l’ensemble du territoire national. Leurs ennemis sont aussi ceux de notre pays. C’est l’honneur et la grandeur de la France de se porter à la pointe de ce combat pour le respect, la dignité et la liberté de chacun.

lfm_2016