Le gouvernement et sa majorité ont inventé un nouveau mode de torture : le supplice fiscal.
Ils jouent avec les nerfs des Français, particuliers comme entrepreneurs, en annonçant chaque jour de nouveaux impôts ou autres prélèvements, puis y renonçant avant de les réintroduire sous une autre forme. Quotient familial, déduction pour frais de scolarité des enfants à charge, taxe sur l’EBE, nouvelle majoration exceptionnelle de l’IS, remise en cause du crédit d’impôt recherche, taxe à 75% sur les revenus, etc. : il n’est pas un jour sans lequel la liste ne s’allonge.
Placé sous la menace permanente de nouvelles taxes, le contribuable français
est incapable de savoir quelle sera sa charge d’impôts l’année suivante et comment gérer son budget et son patrimoine. Résultat : ni l’investissement, ni l’immobilier, ni l’emploi (hors emplois publiquement aidés) ne repartent en France.
La sécurité juridique est un principe fondamental de nos démocraties. Seuls les dictatures et les régimes totalitaires soumettent leurs ressortissants à l’arbitraire du pouvoir politique.
En pratiquant une véritable politique de terreur fiscale, la majorité actuelle, sous couvert d’égalité et de justice, menace nos libertés fondamentales. Face aux dérives d’un pouvoir politique irresponsable, nous devons créer un principe constitutionnel de sécurité fiscale protégeant les citoyens contre l’arbitraire et l’instabilité. C’est l’intérêt de la France et de tous les Français.
Un commentaire
La Parti de Pascal
Très cher
je vous invite à faire un brin de promenade dans les quartiers du merveilleux vivre ensemble de la Joliette, Bougainville et Docks des Suds de Marseille pour comprendre la politique de drainage de richesse des classes moyennes « blanches » vers les populations d’origine nord-africaines dont le seul mérite est de voter majoritairement socialiste; le dernier épisode des primaires est particulièrement éloquent
Quel rapport avec la terreur fiscale me direz-vous ?
Direct et sans ambiguïté; elle précède des terreurs que je pressens bien plus funestes pour notre art de vivre
La population française a augmenté ces 30 dernières années de manière dantesque, en tout cas pas en rapport avec le taux de fécondité des résidents locaux; pour passer de 50 à 65 millions d’âmes, il a donc fallu laisser entrer sur le territoire la bagatelle de millions d’étrangers, plus prolifiques que nous.
En parallèle de cela, cela fait 30 ans que notre pays ne crée plus de richesse, voire régresse; la gâteau à partager rétrécit tandis que le nombre d’assiettes augmente.
L’équation est du 1er degré et la solution est au mieux notre appauvrissement, au pire notre élimination pure et simple
Bon, il reste l’exil…