Chers Amis,
Le compte à rebours a commencé. Le 23 avril 2017, les Français voteront pour le premier tour des élections présidentielles. Un an, c’est long, mais c’est très court aussi. C’est pourquoi nous allons accélérer.
A douze mois de l’échéance présidentielle, la situation n’a jamais été aussi confuse. C’est un risque pour le pays. C’est sa chance aussi. Car le capharnaüm actuel traduit le manque de légitimité des prétendants officiels et leur incapacité à répondre aux aspirations des Français. Contrairement à ce que pensent la plupart des candidats déclarés, l’élection présidentielle n’est pas l’épreuve ultime du concours de sortie de l’ENA…
Jusqu’à présent, nous n’avons assisté qu’au culte du moi. Au sein du gouvernement comme des grands partis, c’est la loi du chacun pour soi : mes idées, mes photos, mon programme, etc. Il est pourtant impossible d’avancer si l’on passe son temps à se détruire mutuellement. Et il reste tant de choses à réaliser pour transformer notre pays. C’est pour cela que nous soutenons la Primaire des Français. La campagne présidentielle doit cesser d’être une compétition d’égo ou une lutte d’intérêts particuliers pour devenir un combat, le combat pour la France !
Je crois profondément que nous ne pourrons pas relever les défis de notre temps à moins de le faire ensemble. Personne ne saura, seul, trouver toutes les bonnes solutions aux difficultés du pays, assurer la sécurité des Français, relancer la croissance et créer les emplois permettant de mettre fin au chômage de masse, former tous les professeurs dont nous avons besoin pour préparer nos enfants au futur, construire les nouvelles infrastructures dont la France a besoin pour demain ou réinventer l’Europe pour lui donner un avenir.
Aujourd’hui, plus que jamais, nous devons agir ensemble, en tant qu’une seule nation et un seul peuple, regardant dans une même direction. Voilà vers quoi nous devons tendre. Voilà où nous voulons aller.
Notre parcours commence. Il ne sera pas terminé tant que la France n’aura pas retrouvé sa place, tant qu’elle ne disposera pas d’institutions et d’un Etat pour le XXIème siècle, tant que chaque Française et chaque Français n’auront pas la possibilité d’exercer un métier, tant qu’il restera des zones de non-droit sur le territoire national et tant qu’une nouvelle direction claire n’aura pas été donnée à l’Union européenne.
C’est notre tâche de transformer ces objectifs en actes. Ensemble, nous pouvons tracer une voie qui assure le succès et l’avenir de notre nation !
Bon week-end à tous
François Vigne
