Le 18 juin 1940, le général de Gaulle se levait pour rendre à la France sa liberté et sa grandeur contre la défaillance de ses chefs. Face au fatalisme et au renoncement, il choisissait le chemin escarpé de l’honneur, du combat et de l’action.
76 ans après, le combat reste le même. En ces temps troublés où l’autorité de l’Etat est contestée, la voix de la France affaiblie et sa puissance économique menacée, il nous nous revient d’assurer à notre tour la charge du redressement national.
Ce n’est pas avec des visites à Colombey ou des dépôts de gerbes que l’on y œuvrera, mais en travaillant intensément à transformer l’organisation de notre pays et à guérir ses fragilités pour lui permettre de retrouver le chemin de la croissance, de la prospérité et du progrès social. Nous devons en particulier changer en profondeur son organisation politique pour libérer la France du système des partis qui, en 2016 comme en 1940 et en 1958, le précipite sur le chemin du déclin et de l’échec.
Répondre à l’Appel du général de Gaulle aujourd’hui, c’est cesser de s’en remettre à ceux qui font reculer la France depuis 40 ans. Et c’est choisir de se mettre au service de son redressement en rassemblant la nation toute entière autour d’une ambition nouvelle pour notre pays.
C’est ce que nous faisons aujourd’hui. J’appelle tous ceux qui, comme nous, veulent faire renaître l’espérance et remettre la France en marche, à nous rejoindre pour la conduire sur le chemin de la grandeur et du succès.