RTE vient de nous en avertir. L’approvisionnement en électricité de la France au mois de janvier 2023 concentre « davantage de risques » qu’en octobre 2022. La responsabilité en revient principalement aux mouvements sociaux de septembre et octobre, que le gouvernement n’a pas su dénouer rapidement. Au-delà, c’est toute la politique énergétique du chef de l’Etat, qui est en cause. Il s’était engagé, en 2018, en faveur de la fermeture de 14 centrales nucléaires, avant de récemment se raviser. Mais les discours ne suffisent pas. Il est urgent d’agir !

lfm_2016